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 |  Sujet: James McClair  Sam 26 Juin - 16:58 | |
|  | McClair Eliot James
“ Tout va pour le mieu dans le meilleurs des mondes, enfin maintenant.”
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J’avais encore les oreilles qui sifflé, je n’en revenais pas…à bout portant, cette saloprie m’avais tout simplement détruit les oreilles. Paniqué, pour la seconde fois de ma vie ( La première étant la fois où j’avais entendu ma mère ultra puritaine rentrer à la maison trois heures plus tôt alors que j’étais occupé avec deux des pompon girls du lycée dans ma chambre ) J’attrapa les bricoles qui traîner par ici et par là, cela faisait plusieurs mois qu’on vivait ici Jack et moi, et faut dire qu’on avait décidé de se défoncé jusqu’à ne plus tenir debout, la baraque était dans un salle état. Je prit un des vieux sac de randonnée de mon défunt père pour y fourrer ce que je ramasser, l’objectif était de prendre un maximum de chose en un minimum de temps. Les clefs du cabriolet était dans la chambre du haut, le visage ruisselant de sueur je courut jusqu’au premier étage. J’ai dut tomber plusieurs fois, car le sifflement qui bourdonnais dans mes oreilles me désorientais, comment on avait pu en arriver là…
La chambre elle aussi étais dans un sale état, entre la poudre du bonheur, les pilules et les spliffs qu’on avait pas eut le temps de finir, sautant à moitié sur la commode je pris mon portefeuille et jeta un coup d’œil rapide à l’intérieurs. Il restait un peu de liquide, des vielles cartes de visite ou de fidélité et puis mes papiers d’identité. James Eliot Mac Clair, né à Cambridge le 18 novembre 1986, et toute les autres banalité qu’on trouve sur une carte d’identité. Sur la photo il y avait moi, les cheveux court, bien rasé, le mec qui mène une vie clean, qui va manger chez ses parents le dimanche, enfin moi. Moi avant que je foute ma vie en l’air en abandonnant mes études et en pensant que la vrai vie c’était l’éclate. La mort de mon père m’avais fais flipper je dois dire…maintenant je regrette un peu. Ma mère à vécu toute seul avec la tristesse d’un mari mort et la honte d’avoir un fils qui la renier, elle en est morte. Au final j’ai tuer deux personnes…Et pourtant je les aimais toute les deux…
Trèves de bavardage, il y avait un mort dans le salon et je ne tenais pas vraiment à le rejoindre. J’attrapa les dernière fringue qui traînais et je redescendis les escaliers. Il ne restais plus que deux choses à faire: remplir la maison d’essence et récupérer les clefs de maison, qui étais dans le salon…c’était la deuxième chose qui posait problème. J’ai donc décidé de commencer par la première, on avait un bidon d’essence dans la cuisine, toute en le vidant dans le hall et dans la cuisine, j’alluma le gaz à fond. Et enfin armé de tout mon courage j’entra dans le salon.
La pièce étais plongé dans le noir, au fond gisait Jack. Je l’avais tué de mes propres mains, avec sa propre carabine…Jack était mon ami d’enfance, on avait toujours partagé ! Quand le fléau c’est rependu on avait décidé de venir habitait ici, à Cambridge, dans ma ville d’origine, dans ma maison. On vivait à l’écart des autres pour éviter la contamination, mais finalement on y a pas échappé, enfin lui n’y à pas échappé. On avait conclu un accord, si l’un de nous devait mourir l’autre devrai l’achever. Sur le coup c’était très romanesque, preuve d’une belle amitié, le genre de truque qu’on voyais dans le film. Sauf que en vrai ça n’avait plus rien de beau. Jack au début n’avais presque rien, il savait qu’il était foutu et moi aussi, mais on en parler pas. Et puis ça à commencer à empirer. J’avais lut que la maladie n’étais pas très contagieuse à ce stade donc on avait décidé de continuer à vivre ensemble, sauf qu’il en a trop prit. Une nouvelle drogue que nous avait filé un mec dehors, elle rendais heureux plus que les autres, sauf que Jack ça l’avait rendu fou, il avait finit par hurler dans toute la maison, il voulait que je le tu maintenant, et puis il essayer de me frapper. Il était complètement fou, j’ai finit par le descendre. Si il m’avait blesser j’aurai été aussi contaminé et je voulais vivre. Refoulant ce dernier souvenir je prit les clefs de la maison, il y avait dessus un vieux porte clef tête de mort, Jack me l’avait filler quand on était gosse, je jeta un dernier regard vers lui et sortit dehors en prenant soin de fermer la maison, une dernière fois.
J’étais dehors, l’air était frai ce qui était en total opposition avec se que je vivait. Je retira rapidement la chemise taché du sang de mon meilleur ami, me versa le reste de vodka sur le corps ( l’alcool tue les microbes…c’était une simple précaution, il n’y avait que quelques taches et Jack n’étais pas dans un stade si avancé ). Finalement j’alluma une cigarette, j’accrocha à un paver qui traîner devant la maison et jeta le tout par l’une des fenêtres. En l’espace d’une seconde tout sauta et je me retrouva plaqué au sol, inconscient. Quand je reprit mes esprits tout avait brûlé, il ne restait plus que de veille ruine. Je jeta le sac dans la voiture, mit le contact et roula, vers le nord. J’avais lut que Liverpool n’étais pas trop touchée…au pire je m’installerai dans la campagne, et j’y mènerai une petite vie tranquille comme j’avais toujours voulut le faire. Dans le fond j’avais toujours voulut faire ça, vivre tranquillement, sauf que je voyais ça dans un truques plus cool, pas avec la mort de mon meilleur ami sur la conscience et le monde qui partait en décomposition…
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Fléau
Omniscience.
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Humeur : Vicieuse.
Pensées : J'me ferais bien un steack.
| | Sujet: Re: James McClair Sam 26 Juin - 17:18 | |
| Tu te retrouves là un peu par hasard, mais on t'aime déjà.
Tu es validé mec ! | |
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