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 Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham]

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Geoffrey Chappeman
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Geoffrey Chappeman


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MessageSujet: Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham]   Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham] Icon_minitimeVen 25 Juin - 17:36

Plus d’essence, la station de service où il était arrivé en poussant son scooter n’avait plus une seule goutte en réserve et tout était fermé. Tout le monde se faisait la malle décidément. Il avait finit par quitter l’autoroute, trois voitures étaient passées, et au vu de leur vitesse et de la largeur de la voie, inutile d’espérer les arrêter. Bon, maintenant, prendre des routes secondaires s’imposait. Il marcha ainsi bien une heure sans croiser personne, le décor espacé de l’autoroute disparaissant pour des quartiers de maisons résidentielles, puis des maisons de villes… à nouveau des maisons résidentielles. Il tournait au hasard dans les rues, se servant des panneaux d’indications pour éviter de trop s’éloigner de son objectif. Le nord. Plusieurs fois il songea à abandonner le scooter, plus qu’encombrant qu’autre chose, mais il lui réservait un sort bien plus utile. Il s’arrêta à un carrefour, pour voir indiquer la direction de Birmingham, il allait s’aventurer par là-bas. Il jeta par terre un mouchoir usagé sans se soucier de ce geste sale et peu écolo. Aux autres de faire gaffe en premier, puis lui, il allait crever, alors, pourquoi se prendre la tête ? C’était dommage que les gens se cachent, se terrent, fuient, il aurait pu encore plus profiter. Mais bon, au moindre signe de vie humain, il foncerait droit dessus pardi.

Geoffrey renifla, avec un petit sourire, et il s’avança alors sur la route qu’il avait choisie. C’était parfait, elle n’était pas trop large, les lampadaires étaient proches du bord du trottoir, une voiture passant par là serait bien embêtée pour éviter un obstacle en plein milieu de la route et la meilleure solution était donc de s’arrêter. Voilà ce à quoi allait lui servir le scooter maintenant, comme un tronc d’arbre sur la voie ferrée, certes, moins imposant, mais il suffisait de tomber sur quelqu’un qui ne soit pas de nature à foncer dedans sans réfléchir et risquer d’abîmer la voiture sans garantie de pouvoir aller loin avec un scooter dans les roues. Son sac de randonnées toujours sur le dos, il s’arrêta au début d’un virage, histoire de compliquer un peu les choses. Il plaça alors son petit véhicule en plein milieu de la voie, allant même jusqu’à prendre deux poubelles qui restaient sur les trottoirs, pour bloquer davantage le scooter de chaque côté. Et au niveau bruit, ça allait encore plus inquiéter le conducteur d’un véhicule qui décide de foncer quand même. Il observa le résultat de sa petite « sculpture » citadine puis se dirigea jusqu’au trottoir, défaisant son sac qu’il posa à attendre. Il ne restait plus qu’à attendre…

Geoffrey s’assit sur le pas d’une porte où il ne semblait y avoir personne et il décida de s’autoriser une pause bouffe. Il ouvrit son sac pour en sortir un paquet de chips et il se mit à grignoter, tout en se concentrant sur les différents bruits et mouvements. Il y avait quelques insectes, des papillons de nuit, virevoltant autour des lampadaires, dont la source lumineuse lui paraissait bien lugubre à cet instant, avec ce manque de vie dans la ville. Le bruit d’un vent modéré, provoquant parfois un petit sifflement, le paquet de chips dans ses mains, le craquement de ces dernières sous ses dents… et des pas ! Oui, il ne rêvait pas, quelqu’un s’avançait par ici. Approche bienveillante ou pas ? Cette personne était-elle seule ? Il lui semblait entendre autre chose pourtant. Il déposa son paquet de chips sur son sac, et c’est une main dans sa poche vers son couteau suisse au cas où qu’il se releva pour apparaître clairement à la lumière d’un lampadaire, plissant les yeux pour pouvoir distinguer au plus tôt la personne qui venait dans sa direction.

Etait-ce son petit « piège » qui avait intrigué quelqu’un ? Ou l’espoir fou que son scooter soit encore avec de l’essence ? Mouais non, un véhicule avec de l’essence abandonné comme ça, il faudrait être idiot pour l’espérer. Histoire de ne pas paraître trop dangereux non plus, il renifla doucement à nouveau, prenant la parole d’une voix se voulant amicale et la plus posée possible.


"C’est pour forcer une voiture à s’arrêter…"

Geoffrey ne croyait pas le moins du monde que de l’auto-stop pourrait marcher, en ces temps-ci et il n’avait pas envie de se mettre lui en plein milieu de la route. A la place d’autres, il n’hésiterait pas à écraser quelqu’un si son état d’esprit est de fuir tout contact pouvant se révéler dangereux. Et donc, il ne pouvait pas ignorer cette possibilité. Le mieux, c’était bel et bien d’utiliser cette mécanique sans vie maintenant.
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Lyra A. Weaver
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MessageSujet: Re: Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham]   Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham] Icon_minitimeSam 26 Juin - 20:50

    Cela devait bien faire 3 jours que Lyra avait quitté Norwich pour la direction d’Oxford, et elle n’était pas mécontente de voir enfin l’entrée de la ville. Elle en avait traversé pas mal des villes et des villages fantômes, et rien que le fait de marcher dans ses rues désertes lui procurait un frisson qui éveillait en elle son instinct vagabond. Même Niji semblait avoir éveiller en elle ses instincts de chasseur. Elle avait beau n’être âgé de seulement 2 ans et n’avoir jamais chasser de sa vie, sa nouvelle performance leur avait permis, quelque fois, de manger autre chose que des pâtes et des gâteaux sec. La jeune femme avait même, plus d’une fois forcé la porte d’une maison pour fouiller dans les placards à la recherche de quelque chose de mengeable, se réapprovisionner en eaux et profiter de la douche, bien qu’elle ne put bénéficier de que l’eau froide. Tant pis au moins elle avait put retirer cette affreuse odeur de chien mouillé qui lui collait à la peaux depuis qu’elle s’était prise une rincé sur le coin du museau, Niji par la même occasion.
    Hormis c’est deux effraction, et avoir trouvé un vieux parapluie dans une poubelle qui s’était fait la mal dès les premières brises, Elles n’avaient croiser que quelques rares automobilistes, dont un qui avait faillit les écraser. Peut être avait il penser qu’elle était infectée ? Enfin, le plus important dans l’histoire c’est qu’elles soient encore vie.

    Ce n’est que quand le jour commençait à décliner que Lyra et sa chienne arrivèrent enfin dans le centre ville d’Oxford, qui comme le reste était étrangement désert. Elle était déjà venue ici, mais cela datait de bien avant l’infection, et autant qu’elle puisse s’en souvenir, elle avait toujours apprécié l’animation qui y régnait. Avec toute cette histoire ce n’était plus qu’une vaste ville fantôme, comme la pluparts de celle qu’elles avaient traversées plus tôt. Le seul point positive pour le moment est qu’elle pourrait sûrement squatter l’appartement ou la chambre d’un hôtel. Elle aimait bien le camping, mais tant qu’à faire, autant profiter de l’absence des propriétaires pour faire un petit tour chez eux. Le seul souci, ce dont elle n’avait pas pensé jusque là, était les objets qui pouvait être porteur du gène. D’ailleurs maintenant qu’elle y pensait, elle espérait sincèrement que les personnes avant elle n’étaient tout simplement pas malades et que si c’était le cas, le microbes aient eu le temps de mourir. 24 heures de survit qu’ils disaient les médecins. Puis après tout, fallait bien mourir de quelque chose. Quoique rester en vie était le but premier de cette excursion.

    La jeune femme réajusta son sac de marche qui lui pesait sur le dos, changeât sa guitare de main, qui se trouvait dans son étui, et continua sa marche progressive vers une route qui, selon les indications du panneau sortait de la ville. Elles trouveraient bien un endroit où passer la nuit. Niji furetait un peu partout sa queue enroulée sur son arrière train qui gigotait joyeusement. Bon, il semblerait que la situation ne déplaise pas à tout le monde, c’était déjà ça. Les lampadaires s’allumèrent alors, étrange étant donné que la ville était censée être déserte, mais bon ce n’était pas de refus, surtout que Lyra n’avait pas pensé à prendre une lampe torche.

    C’est à ce moment précis, qu’elle l’aperçut, cette barrière urbaine composé de poubelles et d’un scooter orange. C’était bizarre, peut être que quelqu’un avait eu un accident, après tout les gens étaient tellement fou qu’elle ne s’étonnerait pas de voir un macchabé de l’autre côté de cette muraille. Puis, comme sortie de nul part, un homme de stature imposante apparu dans la lumière d’un réverbère. Quesqu’il pouvait bien foutre ici ? Un Infecté ? Après tout cela pouvait très bien être un homme dans la même situation qu’elle, qui sait. Le gus renifla, et s’adressa à elle, en justifiant la présence de cette muraille, du moins c’est ce qu’elle en déduit.

    Lyra continua d'avancer jusqu'à se trouvait à environ 2 mètres de l'inconnu. Niji, elle préféra se tenir derrière sa maitresse, fixant l'étranger comme si il allaient les attaquer.

    « Vous n’avez rien ? » demanda alors la demoiselle en fronçant les sourcils. « J’ai vu ce scooter alors je me suis dit qu’il y avait peut être un accident. N’empêche, vous êtes le premiers être vivant que je croise depuis 3 jours. Vous n’êtes pas infecté au moins ? »


Dernière édition par Lyra A. Weaver le Dim 4 Juil - 18:57, édité 1 fois
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Geoffrey Chappeman
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MessageSujet: Re: Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham]   Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham] Icon_minitimeJeu 1 Juil - 14:29

Geoffrey fit une pause dans son petit moment casse-croûte, n’ayant même pas encore sorti le bon saucisson quand il perçut des pas. Ne sachant pas à qui il allait avoir affaire, il avait pris la précaution d’avoir la main dans la poche, avec ainsi une première prise sur son couteau si jamais il devait craindre une attaque. En ces temps-là, c’était fort possible. Il ne chercha pas à se cacher non plus, il ne voulait pas paraître louche, hein, rencontrer quelqu’un pouvait tout aussi bien être une aubaine, survivant ou infecté, rien à faire, il s’adapterait facilement, avec sa belle excuse. Il se plaça ainsi devant le lampadaire, en pleine lumière ainsi. C’est comme cela qu’il engagea le dialogue, estimant que c’était le mieux à faire, se rendant alors compte qu’il y avait deux silhouettes. Une moins imposante que lui, féminine, un sac chargé sur ses épaules et une guitare, puis un chien. Ce qui était intéressant, même s’il ne pouvait discerner clairement la race de l’animal, qui n’était pas imposant, ce dernier pouvait aider à protéger, dénicher de la nourriture et faire un peu dissuasion pour ceux à qui il en faut peu. Il donna une explication à sa petite construction urbaine également, qui sait, cette femme cherchait peut-être elle aussi à trouver un meilleur moyen de transport que ses propres jambes.

D’ailleurs, c’était plutôt une jeune femme ! Une étudiante sûrement… Geoffrey attarda son regard sur sa vis-à-vis qu’il distinguait bien mieux même si elle était à deux mètres de lui. Origine asiatique, vraiment charmante, autant dire qu’il aimait grandement ce qu’il avait sous les yeux, prenant un sourire encore plus rassurant et mettant en avant son charisme, comme pour compenser son physique dont il était fier, jugeant que les gens ne l’appréciaient pas à sa juste valeur. Il ressortit de sa poche sa main, jetant un rapide coup d’œil au chien d’origine asiatique, remarquant sa méfiance. Tiens d’ailleurs, les chiens pouvaient-ils ressentir quand quelqu’un était infecté ? Il verrait bien, il ne bougea pas encore, conscient qu’il devait lui aussi montrer une prudence, une réticence à risquer un contact…. Pour faire que ça change après bien sûr, que croyez-vous, la fourberie fait partie de ses caractéristiques. Il épousseta un de ses bras, pour répondre de sa plus belle voix possible, jouant sur une touche de méfiance.


"Merci de vous inquiéter, surtout en ces temps-ci, c’est bien gentil de votre part. Mais je n’ai absolument rien, en fait, j’ai trouvé une bonne utilité pour mon scooter qui n’a plus une seule goutte d’essence."

Geoffrey ne montra aucun changement à la question sur le fait qu’il était infecté, rien qui puisse faire comprendre qu’il allait mentir en beauté, prêt à résister le plus possible à tout éternuement qui pourrait se manifester dans les premiers instants avec enfin quelqu’un qui était de toute évidence un survivante…. Une survivante dans ce cas-là.

"Infecté ? Non… Je suis parti à temps de Londres avant qu’il soit impossible de faire un pas sans croiser un de ces malades ou toucher des objets avec cette saloperie de fléau… Et je suppose que si vous vous inquiétez de ça vous aussi, vous n’êtes pas infecté ?"

L’infecté menteur afficha un air malgré tout un peu suspicieux. Une bonne comédie bien sûr, Monsieur ne se trompe jamais ! Et quand les apparences le font croire, c’est juste des conneries faîtes par les autres ou des complots contre lui évidemment… Ses yeux semblaient juger la jeune femme de bas en haut, avant qu’il ne soupire, semblant se détendre, son ventre bien rond un peu plus en avant.

"Vous avez l’air bien en forme et saine d’esprit…. Vous allez où ?"

Geoffrey jugea donc la jeune femme en un premier geste de confiance de sa part, comme s’il risquait quelque chose… Mais en fait, il avait bien envie de garder avec lui cette demoiselle qui pourrait être d’agréable compagnie. Donc, il fallait vraiment faire tout pour gagner sa confiance. Il retourna vers son sac, pour attraper un saucisson, il prit son couteau suisse et coupa une rondelle de la charcuterie. Il revint vers la brune, gardant ses distances, et il s’agenouilla lentement, son poids obligeant, pour tendre le morceau vers le chien. Si l’animal lui faisait confiance, ça influencerait certainement la maîtresse.

"Je m’appelle Geoffrey Chappeman. Et vous et votre petit compagnon ?"

Il s’adressa déjà au chien à l’aide de « regarde ce bon morceau de saucisson, tu dois avoir faim, hein ? ».
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Lyra A. Weaver
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MessageSujet: Re: Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham]   Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham] Icon_minitimeMar 6 Juil - 23:24

    L’homme en question était tout de même assez rondouillard, pour ne pas dire gros, et autant dire que la lumière des lampadaires n’arrangeaient rien. Cela devait être un bon vivant, ou plutôt était car ce n’est certainement pas avec un misérable casse-dalle qu’on allait prendre du poids, c’était plutôt le contraire. Mais, ce n’était certainement pas avec son allure de gros pépère bienveillant qu’elle allait baisser sa vigilance, cela pouvait très bien être un psychopathe échappé de prison qui attendait une bonne opportunité pour faire encore plus de victime, voir des infectés. Après tout avec toute cette histoire de dingue, cela ne serait pas vraiment surprenant, mais d’un côté c’était un acte égoïste de leur par que de contaminer d’autre personne pour ne pas mourir « seul ». Toute fois, on avait beau dire des Infectés, mais qui d’entre les deux parties étaient mieux que les autres ? d'un côté on n’arrêtait pas de passer à la radio qu’il fallait considérer toutes personnes comme étant potentiellement infecté, éviter les zones peuplée. Et de l'autre les infecté qui font la révolution... mais bordel de dieu ! Croyaient t’ils vraiment que c’était avec ces conneries qu’ils allaient sauver le monde ? En bas dans la rues, y’avait pas 36 milles règles, c’était Marche ou crève ! D’ailleurs ce type était mal partie… c’était pas demain la veille qu’il allait se faire prendre en stop, même avec son scooter posté en plein milieux de la route.

    Lyra, finit par poser sa mallette contenant sa guitare à terre, et fourra machinalement ses mains dans ses poches tout en écoutant les explications de l’inconnu, qui par ailleurs affirma qu’il n’était pas infecté. Puis tout en affichant un air méfiant, il lui retourna la question. D’un côté ce n’était pas bien compliqué de savoir si elle l’était ou pas. Premièrement elle n’aurait pas pris la peine de poser la question appart si vraiment elle cherchait un peu de compagnie et qu'elle était contaminé, mais ça...

    « Non, je ne le suis pas. » répondît t’elle simplement en haussant légèrement les sourcils, comme si la question lui paraissait déplacé. D’un côté elle aurait pus lui mentir, mais ce n’était pas vraiment dans son état d’esprit de le faire, mais il était tout à fait normal qui se méfit lui aussi.

    La demoiselle tenta elle aussi de ce décontracté, mais c’était sans compté le regard que son vis-à-vis posait sur elle.

    « Pour tout vous dire, je ne sais pas vraiment… mais je compte remonter vers le Nord. » il était vrai qu’elle ne savait pas exactement où est-ce qu’elle voulait s’arrêter, mais d’un autre côté elle ne désirait pas vraiment faire connaître son parcours. « Et vous où comptez-vous allé ? Surtout que maintenant vous êtes à pieds. »

    L’inconnu fit soudainement volte-face et se dirigea pour chercher quelque chose dans ce qui sembla être son sac à dos, pour en revenir avec un saucisson entre les mains dont il coupa une tranche avant de la tendre vers Niji, qui ne put réprimer un frisson devant la nourriture qu’on lui tendait. Il se présenta alors sous le nom de Geoffrey Chappeman. Lyra laissa échapper un petit sourire amusé, devant la tentative de ce prétendu Geoffrey. Autant qu’elle puisse se souvenir, Nijji et les étranges… C’était pas vraiment ça, mais peut être qu'avec un appât cela pourrait fonctionner, qui sait.

    « Je suis Lyra Weaver et le ce chien à qui vous tendez cette charcuterie s’appel Niji. Mais autant vous le dire maintenant, elle n’a jamais vraiment été accueillante avec les étrangers… alors je ne sais pas du tout si avec ça, cela changera quelque chose. »

    C’est alors que la chienne s’avança légèrement tout en continuant de fixer successivement la rondelle de viande et M. Chappeman qui semblait s’amuser à la narguer. Puis en tant que chien, pourquoi ne pas se laisser tenter, juste cette fois ci, elle n’avait juste qu’a prendre ce machin qui semblait se manger et déguerpir avant qu’il ne tente de la toucher… après tout c’était tout à fait faisable.
    Niji sembla ravaler sa fierté d’Akita et avança à petit pas jusqu'à arriver à environ 50 de cm de l’homme. Là, elle se stoppa net et se mit à aboyer bruyamment comme pour faire comprendre qu’elle n’irait pas plus loin.

    « Niji ! T’ais-toi ! Tu va attire on ne sait quoi ! T’ais-toi ! » Ordonna sèchement la brune en attrapant le canidé par le collier. « Excusez la, elle est encore jeune et a tendance à être assez distante avec les inconnu… c’est un samurai… »
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MessageSujet: Re: Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham]   Tels les bandits bloquant la voie ferrée, je bloque la route [Oxford – une route au nord, sortie de la ville direction Birmingham] Icon_minitimeJeu 8 Juil - 18:42

Geoffrey n’avait pas hésite une seule seconde à dire qu’il n’était pas infecté retournant la question à la demoiselle qui croisait son chemin. Et il eut droit à une réponse qu’il aurait pu deviné de lui-même. La brune avait l’air en bonne santé, même pas enrhumé. Mais elle semblait toujours assez méfiante. Lui qui aurait pu penser que la jeunesse amenait à l’imprudence, bien plus que ces petits vieux… ça ne faisait pas si longtemps que cela qu’on parlait de leurs mésaventures, de ces gens qui osaient rouler les personnes âgées avec de faux contrats, etc… et ramasser un bon pactole. Comme quoi il n’y avait pas grand-chose à dire avant l’arrivée du Fléau. On ne parlait que de ça après, les conséquences politiques, et tout le tintouin. Le Fléau par ci, le Fléau par là… C’était la nouvelle obsession des médias et par conséquence de tout le monde. Mais ça n’empêchait rien d’informer les gens, sans le moindre remède, nul doute que tout le monde finirait infecté. Don c’est vrai, à quoi bon prendre des précautions ? Et pourquoi devoir rester dans son coin ? Au moins, lui, sa révolution consistait à se faire passer pour un survivant le plus longtemps possible.

Geoffrey ne fut guère surpris de ne pas avoir une réponse précise sur la destination de la jeune femme, au fond, peut-être qu’elle-même ne savait pas du tout où allait… Un peu comme lui, en fait, à part le Nord, où ça semblait être la ruée des survivants, sûrement pour s’éloigner déjà de la capitale et des grandes villes anglaises, où il y avait le plus d’infectés. Enfin, il agit d’abord sur une chose, le chien, ce ne serait pas idiot de mettre l’animal en confiance et il alla chercher un bout de saucisson pour revenir, s’agenouillant et le tendant au chien.


"Je vais aussi vers le nord, plus pour trouver d’autres survivants organisés en groupe…"

Il se présenta aussi, histoire de mettre un peu plus à l’aise, il n’avait pas à cacher qui il était, même si au fond, sur le principe, tout le monde peut mentir. Tout en invitant la jeune femme à se présenter aussi, il commença à appeler le chien pour qu’il vienne vers lui, n’ayant pas de mal à ressentir la méfiance de l’animal mais aussi une certaine envie pour ce qu’il tenait entre ses doigts. Il releva les yeux un instant sur la brune qui venait de prendre la parole et afficha un sourire qui mettrait n’importe qui en confiance, sachant si bien en user pour se mettre dans sa poche quelqu’un qui ne savait pas à qui il avait vraiment affaire.

"Enchanté Lyra… et Niji…. Désolée de t’avoir pris pour un garçon ma puce…"

Geoffrey parla directement à la chienne, comme si elle pouvait le comprendre, alors qu’il avait bien de l’espoir en la voyant s’avancer malgré que sa maîtresse lui ait précisé que Niji ait du mal avec les inconnus. Oui, il avait bien confiance en lui, ne bougeant pas de sa position, même si ses genoux commençaient à lui faire mal. Il n’était plus si jeune et son poids n’aidait pas vraiment. Mais bon, après tout, les humains n’étaient pas faits pour rester accroupis tout le temps. Seulement, il n’avait pas du tout prévu que la chienne se mette à aboyer comme ça tout d’un coup, le faisant sursauter. Il avait fait quoi de travers là oh ? Il faut qu’il se calme le toutou ! Et il en vint à la même conclusion que Lyra, il y avait de quoi ameuter du monde là.

"Je vois ça…. Même si elle ne saute pas à la gorge… Aller tiens, attrape, tu te seras avancer quand même mais tais-toi, tu vas nous attirer des ennuis !"

Geoffrey lança juste devant les pattes de Niji le saucisson, pour se relever lentement, une main dans son dos et une sur son genou droit, le plus douloureux.

"Je n’ai plus trop l’habitude de me tenir comme ça… Enfin, vous recherchez sûrement à trouver d’autres survivants comme moi, plutôt que de rester seule et plus vulnérable, non ?"
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