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 J'ai été la nonne que le diable violentait, la secrétaire qui passait sous et sur les bureaux... Je suis le fantasme des hommes

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2 participants
AuteurMessage
Jane Sue Fausten
Et pis ça joue ! Ça jouit !
Jane Sue Fausten


Messages : 26
Âge du personnage : 29 ans
Ville d'origine : Londres
Localisation actuelle : Environs d'Aberdeen

Identité
Contenu de votre sac :
Fonction(s) et attributs: Actrice de porno enfin ex...

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MessageSujet: J'ai été la nonne que le diable violentait, la secrétaire qui passait sous et sur les bureaux... Je suis le fantasme des hommes   J'ai été la nonne que le diable violentait, la secrétaire qui passait sous et sur les bureaux... Je suis le fantasme des hommes Icon_minitimeMer 16 Juin - 3:47

J'ai été la nonne que le diable violentait, la secrétaire qui passait sous et sur les bureaux... Je suis le fantasme des hommes Jane_s10
    Fausten Sue Jane La belle vie quoi, sexe, alcool et drogue

    - C’était la mort du business, pourtant, les hommes devaient avoir encore plus envide de se refouler sur ces films faits pour leurs fantasmes et leurs instincts primaires. Mais voilà, trop de danger, on évite de se toucher, il n’y a qu’une seule crainte, plus forte que celle de manquer de nourriture et d’un toit… L’infection..Le chômage pour ma part, et l’évidence que je suis comme tout le monde… J’ai peur… Londres, c’est devenu dangereux, malsain, ce qui n’est pas peu dire pour une actrice de porno comme moi. J’avais espéré que ça s’arrangerait, une solution au Fléau, que tout recommencerait. Mais là, mes limites ont été atteintes, avec ces infectés dangereux et complètement tarés. J’ai entendu parler des rumeurs, d’un remède trouver au nord de l’Ecosse. Et il m’a suffit d’avoir échappé à un infecté alors que je cherchais de quoi manger dans une supérette pour définitivement plaquer. Normal en fait, j’ai eut la peur de ma vie, seules mes longues jambes m’ont permis de fuir rapidement ce monstre qui se dirigeait vers moi… Ce n’était même plus un humain ! J’ai encore mon cœur qui bat comme s’il voulait sortir de ma poitrine, pourtant bien charnue, et j’ai du mal à reprendre mon souffle, sortant ma valise à roulettes. Pas de perte de temps chez moi, pourtant, je mettais toujours deux heures à faire ma valise, là, j’ai casé toutes mes fringues, en dehors des robes de soirées et autres habits encombrants, en même pas dix minutes. Records battus ! La peur, un excellent carburant !

    Je n’ai pas pu m’empêcher de prendre mes tenues professionnelles, ça peut toujours m’être utile à nouveau. Toujours cet espoir qui ne me quitte pas. Il ne faut pas que je m’attarde, des affaires de toilettes, mes maigres réserves, une arme… Paf… Mon sac qui vient de tomber de la table… Mon portefeuille faisant aussi office de porte-carte, était-il vraiment utile que je le prenne ? Oui, je crois… Même si c’est l’anarchie… L’identité peut être contrôlée et ne rien avoir pourrait se retourner contre moi… Ah la voilà… Ma carte d’identité… Jane Sue Fausten… 29 ans, bientôt la trentaine, née un 9 septembre, à Londres… Rien d’extraordinaire… Ni mon adresse, sauf pour les connaisseurs. Un bon quartier de Londres, connu pour ses grands appartements, immeubles luxueux. Comment j’ai pu finir là ? Et bien, le succès, mon talent de comédienne et mon corps parfait, ma perversion et ma persévérance… Mon carnet de répertoire bien garni, un privilège d’être dans mes petits papiers, avant que le Fléau ne vienne tout gâcher. Je suis actrice de porno, pas la petite qui doit lécher les pieds pour avoir un rôle, j’ai largement dépassé ce stade. Je suis celle que tous les producteurs voulaient avoir dans leurs films ! La big boss des actrices, la dernière à avoir reçu le dernier awards du X et je gagnais fort bien ma vie en prenant mon pied. La belle vie quoi, sexe, alcool, drogue… Je le méritais bien après tous mes efforts pour pouvoir percer dans le milieu. Avant... Avant je n’étais rien, fille d’une toxicomane et d’un chauffeur routier, mon père battait ma mère et très vite, j’ai finit dans un centre d’accueil pour ados difficiles. Je n’ai pas eut mon bac, j’ai cherché des petits boulots une fois majeure pour ne pas finir à la rue. C’est là que j’ai rencontré Tommy, c’est lui qui m’a lancé. J’étais une bonnasse, j’en avais dans la cervelle, je pouvais faire mieux que de me prostituer pour résoudre mes problèmes financiers. J’avais toujours gardé contact avec lui, du temps où je jouais des coudes à mon règne. Il n’y a pas si longtemps que cela, on parlait de moi comme la reine du porno dans les magazines, à relater mes frasques, mes petites aventures, mes dérives. Les rumeurs allaient bon train sur des possibles relations avec untel, des mariages… Mais rien de tout cela, je n’avais toujours pas trouvé chaussures à mon pied, et ça ne risquait pas d’arriver maintenant, même avec l’arrêt de ma profession. Il faut dire que j’accumule les défauts pour trouver le prince charmant, mon corps est loin d’être une île vierge, paradisiaque oui par contre, et je touche à tout ce qui est fun, cocaïne, héroïne, canabis, alcool. Pourtant, c’est bien dans mes rêves de princesse venant de la rue, trouver l’amour. Ce que je peux être niaise parfois ! Mais c’est plus fort que moi. Comme là, à me demander ce que sont devenus les autres acteurs, les producteurs, mes soi-disant amis dont je n’ai plus de nouvelles. Je suis seule, je n’ai eut d’échange qu’avec mes voisins qui ont du partir vers le nord et je vais en faire de même. Et ma famille… Je ne sais plus du tout ce qu’ils sont devenus depuis que j’ai été dans le centre d’accueil, je les détestais, et pourtant, voilà que je ressens une boule au fond de ma gorge à l’idée qu’ils soient morts du Fléau, qu’ils auraient pu l’éviter si je ne les avais pas abandonné. Si ça se trouve, j’ai sans le savoir un petit frère ou une petite sœur…

    Bon bon bon, ce n’est pas le moment que je culpabilise et que je me mette à pleurer, assez perdu de temps ! Que me manquait-il ? Habits… Ok… Affaires de toilettes ok… Chaussures ok… A manger (le peu que j’ai)ok … Mes dernières réserves de cigarettes et de cannabis ok… Une arme, un pistolet que j’avais trouvé par terre, avec encore quatre balles…Je n’avais déjà plus de place. Je terminai avec le chargeur de mon portable, si par chance je tombais sur une ville avec encore de l’électricité et je fermais la valise, devant presque monter dessus pour y arriver. Heureusement, elle était à roulette, je n’avais pas à la porter tout le temps. J’ai abaissé les volets, j’ai pris mes clés puis je suis sortie. C’est là que je me suis demandée… Etait-ce utile de fermer, les pillards finiraient bien par en arriver à bout. Mon trousseau de clés, il y en avait 6… celle de mon appartement, celle de l’ascenseur, de la porte d’entrée de l’immeuble, du garage, la boîte aux lettres… et la dernière, c’était celle de l’appartement de mon meilleur ami, disparu lui aussi.. C’était lui qui m’avait offert ce bijou en argent, l’œil de Râ avec une pierre verte, il savait que j‘étais fascinée par l’Egypte ancienne, j’aurais adoré faire un porno sur ce thème.. J’ai du m’efforcer à bien respirer, pour ne pas me laisser envahir par la tristesse à nouveau. En deux tours, la porte était fermée et je lui tournais le dos, sûrement, pour prendre l’ascenseur, direction le sous-sol. J’avais toujours ma voiture, dans un garage qui avait résisté à plusieurs tentatives de l’ouvrir par la force au vu des traces qui le décoraient maintenant. Je n’ai pas utilisé ma voiture depuis mon dernier plein, je ne manquais donc pas d’essence. Une constatation rassurante alors que je venais de grimper à la place du conducteur, ma valise dans le coffre.


    Maintenant, direction Aberdeen, sûrement comme beaucoup de survivants.. Je suis une survivante, oui… Je veux éviter à tout prix d’être infectée, je ne veux pas mourir, je n’ai pas encore fait ce que je voulais vraiment de ma vie. Actrice de porno, c’est bien, mais ce que je voulais vraiment au fond, c’était être actrice, une vraie, une star d’hollywood, épouser un homme important dans le monde, un noble de préférence, pourquoi pas un membre de la famille royale anglaise. J’ai toujours trouvé à mon goût le prince. N’aurais-je pas fait une princesse britannique des plus glamours hm ? Envie d’une cigarette… voilà… je pouvais y aller… C’était une longue route, mais je n’en suis pas effrayée. Ma radio et les cigarettes furent mes compagnes du voyage, j’ai fais le moins de pause possible. Je m’étais arrêtée devant une épicerie, on était passé avant moi, néanmoins, j’avais débusqué deux conserves qui avaient roulées sous un des rayons vides. C’était déjà ça. Fière de moi, j’arrivais à destination, la nuit commençait à tomber. Mon choix était tout fait, j’allais m’arrêter d’abord aux environs d’Aberdeen, voir le monde qu’il y avait… Croiser d’autres survivants ne seraient pas un mal, en premier, j’en avais marre d’être seule, c’était dangereux aussi… Je le ressentais davantage en n’ayant aucune connaissance des lieux. Après… Rechercher ce scientifique, avec ce fameux remède, pour pouvoir me mettre à l’abri d’une infection. Puis, ce ne serait pas idiot de faire comme dans les films, faire plein de remèdes et de partir à la chasse des infectés pour le leur administrer. La vie redeviendrait comme avant… Ce que je souhaite le plus au fond, ça me suffirait déjà amplement… Je suis perdue, dépassée par tout ce qui se passe, comme bien du monde, je n’en doute pas, mais je préfère me concentrer sur mes espoirs. Ce qui me donne une détermination plus forte pour survivre, être prête à tout pour m’en sortir, et ne plus être seule. Peut-être y a-t-il encore des gens solidaires ? De confiance ? Avec qui partager nourriture, chaleur, alcool, nouer des liens ? Vraiment… adviendra ce qui adviendra… Une chose est sûre, je me défendrai jusqu’au bout !
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Fléau
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Jolie jeune femme, que rien ne vienne encombrer ton chemin..

Validée !
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J'ai été la nonne que le diable violentait, la secrétaire qui passait sous et sur les bureaux... Je suis le fantasme des hommes
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